L’An@é a retenu dans les médias cette semaine trois enquêtes, un constat sur l’augmentation de l’inscription dans les Ecoles de commerce, un entretien France Infos avec notamment Boris Cyrulnik, un article de Jean-Pierre Archambault président de l'association EPI (Enseignement Public et Informatique) qui nous explique en quoi la pratique du B2I est un échec …
Les enquêtes :
Il mène depuis de nombreuses années des actions en faveur d'une discipline informatique au lycée. Explications à l'occasion d'une table ronde et d'un stand dédié à cette nouvelle option lors du prochain salon Educatec-Educatice.
Weka : A la rentrée 2012, va démarrer l'enseignement optionnel "Informatique et sciences du numérique" en Terminale S. En quoi est-ce différent du brevet informatique et internet (B2i)?
Jean-Pierre Archambault : C'est le jour et la nuit, deux choses radicalement différentes. Depuis de nombreuses années, concernant le contenu de la culture générale informatique et les modalités pour la donner à tous les élèves, deux approches coexistent. Discipline ou pas ? Pour l'une, les apprentissages doivent se faire à travers les usages de l'outil informatique dans les différentes disciplines existantes.
Pour l'autre, l'informatique étant partout, elle doit être quelque part en particulier, à un moment donné, sous la forme d'une discipline scolaire en tant que telle. Pour les uns, l'utilisation des technologies de l'information et de la communication (TIC) suffit. Pour les autres, l'usage d'un outil, matériel ou conceptuel, ne suffit pas pour le maîtriser.
A notre sens – et nous ne sommes pas les seuls à le penser- au bout de dix ans de pratique du B2i, nous constatons un échec – qui était prévisible.
En 1ere partie : Entretien avec Boris Cyrulnik : Halte à la pression scolaire
Boris Cyrulnik, neuropsychiatre. Il est aussi directeur d'enseignement à l'université de Toulon.
Vous trouverez en seconde partie de l'émission :
2ème partie : Enquête sur le moral des Enseignants
Georges Fotinos, ancien chargé de mission d'inspection générale conseiller du président de la MGEN (Mutuelle Générale de l'Education Nationale).
Chronique de Benoit Falaize :
Pour une histoire de la question du moral des enseignants
Dans le cadre de notre partenariat avec EducPros.fr le site de réfèrence sur l'actualité du monde de l'éducation retrouvez le texte de cette chronique.
Les formations initiales dédiées aux métiers du numérique sont à la croisée des chemins. D'un côté, les employeurs recherchent des profils de plus en plus spécialisés, directement opérationnels dans des métiers en expansion De l'autre, les étudiants s'engouffrent dans ces filières en plein développement.
Entre les écoles d'ingénieurs, les universités, les IUT et BTS et même les écoles privées, l'offre de formation évolue en permanence. Pour connaitre les attentes placées dans ces cursus, le Journal du Net et Copains d'avant ont lancé une enquête auprès de la population des ingénieurs. Découvrez ce que ces professionnels pensent des formations aux métiers du numérique et ce qu'ils souhaitent voir améliorer.
LIRE LES RESULTATS JOURNAL DU NET
Publié le 8 novembre 2011 par INRIA
Quelle compréhension les Français ont-ils du monde numérique dans lequel ils évoluent ?Inria a initié avec TNS SOFRES – en partenariat avec TF1News, Metro et France Inter - une grande enquête pour répondre à cette question et suivre au fil des années l’évolution de la population française. Retrouvez les résultats détaillés de l’enquête et découvrez à quel type de voyageur du numérique vous appartenez.
Une augmentation de plus de 11% par rapport à l’année dernière, et même de 43% depuis la rentrée 2008 - les frais de scolarité étaient à l’époque de 10 500 €.
Avec cette hausse, l’Essec franchit un cap symbolique. C’est de loin la plus chère des écoles de commerce : HEC, juste derrière, facture ses étudiants 11 900 €.
Toutefois, la première année à l’Essec reste un peu moins chère (9 500 €). Il faut aussi préciser, pour nuancer, qu'un tiers des élèves de l'Essec termine sa scolarité en apprentissage – et sont à ce titre dispensés des frais de scolarité.
Pour cette nouvelle édition, la onzième, AEC a décidé de renouveler en profondeur le diagnostic de l’Aquitaine numérique. Sur le fond tout d’abord. Le diagnostic devient un véritable instrument d’analyse des évolutions de la société numérique aquitaine à l’usage des décideurs œuvrant à promouvoir le développement du numérique sur le territoire