"Découvrant lors du dernier salon Educatice des solutions toutes nouvelles, des jeunes entreprises, des éditeurs parfois perplexes sur leur place au cœur de ce système, découvrant des enseignants nouveaux aussi dans leurs approches, leur manière de scénariser leurs projets, de travailler ensemble, j’ai conscience qu’un nouveau monde est là, dans une recomposition totale de l’écosystème éducatif par le numérique, que l’injonction n’est plus de mise, à aucun niveau, et que cette dynamique s’écrit collectivement". Extrait de l'Edito sur Educavox : Injonctions et libertés : http://www.educavox.fr/edito/injonctions-et-libertes.
"Les formes de gouvernances réussies impliquent d’articuler les concepts de confiance, d’adaptabilité, d’écoute des décideurs vers les réalités du terrain, de concertation, de prise en compte de tous les aspects sociétaux et d’être à l’écoute de ce qui vient de la " base ".
La question de la formation des enseignants est essentielle. La formation entre pairs à tous les niveaux est également primordiale. Il est nécessaire de lier apprentissages formels ET informels, de mettre en avant les richesses des interactions entre acteurs et les lier à la dynamique de projet".
Cette dynamique est perceptible dans les projets de l'An@é, "Education en Scène", ou "Passerelles : Carnaval numérique". Ils seront présentés à l'Assemblée Générale samedi 19 mars.
Cette dynamique, elle est également perceptible dans chacun des articles des dossiers et articles sélectionnés dans cette lettre.
Michelle Laurissergues
Hubert Guillaud : L’avenir est-il à l’antidisciplinarité ?
Hubert Guillaud :
L’injonction à la déconnexion est-elle autre chose qu’une critique morale ?